La libération était attendue des prisonniers de guerre depuis presque cinq longues années. La guerre s’était installée sur le territoire du Reich. A Halberbracht, Bruno Eickhoff m’a fait découvrir le garage d’une ferme dans lequel étaient logés des prisonniers de guerre français qui avaient pronostiqué, sur un mur, le jour d’arrivée des Alliés. Pour Sprimont c’était pour le 6 mai, pour Martin le 10 mai, pour Bertiaud le 15 mai, pour Lacquemanne le 20 avril, pour Puchois le 15 avril, […]